La première fois que j’ai entendu parler Coaching

C’était en 2016-17.

Un de mes potes m’expliquait avoir fait appel à une coach pour l’accompagner dans je ne sais plus le contexte de sa demande.

Ce soir là, tout ce que j’ai retenu et que je lui ai partagé en feed back c’est :  » donc toi tu vas payer quelqu’un pour qu’elle te dise que tu as déjà les réponses à tes questions 🤨🤣😒🤣😏🤣🥸.
Si tu as déjà les réponses pourquoi tu dépenses ton argent ? « 

Je me rappel aussi de l’aire mal assuré de mon pote en m’expliquant les apports de son coaching. Ou peut-être était-ce moi (plutôt moi d’ailleurs) qui avait déjà décidé que son truc de coaching était du bullshit.

T’as déjà entendu parlé du biais de confirmation ?
Voila ce que j’ai vécu face à l’expérience de mon pote. J’avais déjà décidé, sans jamais avoir entendu parler de coaching, que la solution qu’il avait trouvé pour ses problématiques n’était pas la bonne.
Bien loin de l’ouverture d’esprit, à fortiori de présence dans la relation, empreinte de jugement, ma certitude s’est faite giflée quelques années plus tard.
Si tu arrives de mon Instagram ET que tu veux vite savoir la fin files à l’avant dernier paragraphe 👇. T’en profiteras pour me dire en commentaire comment on fait un lien hypertexte 😉

 

La période 2018-19, signe pour moi une crise professionnelle.

Je cherche une façon de me ré-orienter professionnellement. Hors de question pour moi de faire un bilan de compétence. Encore une certitude qui a sauté depuis mais, à cette époque, j’imaginais cet exercice comme un listing de mes hard skills. Or, j’en suis toujours convaincue, des hard skills je peux en acquérir S.SI le sujet me plait.
J’avais bien appris le SQL et la gestion de bases de données relationnelles tout comme les missions d’un Product owner.

Le coaching retoque à ma porte format atelier en janvier 2020. Lors de ce dernier je réalise : « Comment choisir mon orientation pro si je ne sais même pas qui je suis ? »

Revenons un chouilla en arrière, 12 années plus tôt, j’étais lauréate d’un concours national de la fonction publique qui me permettait d’entrer à l’ENSG puis à l’IGN.
Le plan initial lui, était de devenir technicienne météo à défaut de chasseuse de tornades. OUI OUI je suis sérieuse ! Long short story, dès le primaire, j’étais folle de l’adrénaline qui me parcourait le corps à l’approche d’un cyclone ( Am from Guadeloupe ! ). 84eme sur plus de 3000 candidats je n’étais pas suffisamment bien classée. J’ai décidé de fuir la 3/2 des classes préparatoires et assurer des revenus financier immédiats.

Bref ! (Bon Revenons-En aux Faits tu savais ?)
Je ne voulais pas savoir pour quoi j’étais douée mais plutôt et SURTOUT, ce qui me plaisait à MOI ! pour ensuite me chercher une éventuelle formation.
Nourris par une chaude colère, je ne voulais plus qu’on me dise, je voulais le sentir moi. Fini les choix par défaut !

 
A l’issus de l’atelier ( en réalité un bilan !)

Daaaamned ! pourquoi il m’a fallu si tard (on se calme j’avais tout juste 30 ans) pour réaliser que j’ai le choix !
Bah oui c’est évident ! tout le monde à le choix!

Et ben non ! Parce que quand tes choix sont dictés par la peur inconsciente de décevoir, de gêner, de ne pas être d’accord avec tes parents, ton conjoint, ton chef… ya pas de liberté la! Du conditionnement, du conformisme, du bien paraître…

Je veux accompagner les jeunes ! Quelle est cette foutaise de « tu verras quand tu seras grand tu pourras … ?
Aujourd’hui, je pense et j’en fais une conviction : c’est pas juste d’attendre d’avoir 30-40-50 pour apprendre à se connaitre et faire RéELLEMENT ce qu’on a envie de faire et pas juste ce pour quoi on est doué (et s’en f@cht#e du regarde des autres accessoirement).

Je veux aussi accompagner mes collègues : tous ceux qui occupes des posts dont les missions sont bien loin de mettre en avant leurs compétences.

 

Ce que j’ai payé ?

La confiance de trouver une voie professionnelle qui me plait.
Réaliser que ce choix est, une suite logique liée à des aspirations intrinsèques.
La sérénité quand au temps que JE m’accorde pour explorer quand à mon avenir professionnel.
Ma liberté…

Le projet de coach interne à ma boite à laissé place à un projet bien plus sexy ! J’exerce à mon compte et accompagne :
– les jeunes à s’apprendre pour s’organiser en milieu scolaire, apprendre à apprendre, s’orienter démarrer sa vie en ayant conscience de sa boussole interne
– les mid-life quand survient la crise du « est-ce que ma vie me convient » pour définir son projet professionnel tout en préservant son équilibre privé
– les manager en entreprise pour affirmer son leadership sans trahir sa personnalité
– les CODIR (les équipes plus largement) pour établir sa vision et fédérer ses collaborateurs.

 

Ce que payent mes clients ? Chacun son besoin. Mais je dirais globalement la confiance et l’affirmation d’eux-même. Sans pour autant s’inventer une personnalité bien au contraire.
Je te laisse découvrir la catégorie « en séance » de ce blog.

 
En résumé

2019 qui se fait coacher?
C’est bibi
2021 qui commence un formation de coaching chez Coaching Ways France ? 🤣🤣
C’est Bibi
Qui répète aux clients qu’ils ont en eux les capacités pour activer les leviers de leur réussite ?
C’est bibi
Qui vente les mérites du coaching ?

J’aurai mieux fait de me renseigner avant de juger 😅!

Curieux ? Envoies moi un message et bénéficie d’une séance découverte.

 

PS : désolé pour les fautes d’orthographe, je me soigne 😉😙

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